jeudi 6 décembre 2012

Dans la peau d'un pilote

Devenir pilote de chasse n’est plus un rêve inaccessible. Avant il fallait passer des concours, étudier de très nombreuses années à l’école de l’air pour pouvoir ensuite espérer prendre les commandes d’un avion de chasse. Tout cela est terminé, et l’on peut se mettre directement en combinaison grâce à quelques structures privées qui vous placent dans la peau d’un pilote de chasse. Un aviateur de la chasse concoure avec des avions armés de missiles offensifs à la planification protective. La combinaison des avions d’interception et des sous-mariniers renforce l’indépendance de de souveraineté du pays. le pilote d’avion de chasse concourre également à la sauvegarde des citoyens contre la intimidation aérienne. Généralement 7 et treize avion d’interception sont prêts en permanence à contrôler en quelques minutes tout appareil soupçonnable. Aussi, le pilote d’avion de chasse est un personnel stratégique des actions étrangères entreprises par la France. Peu importe la charge qui lui est assignée le pilote de chasse assume sa mission, veille à ce que son avion de chasse est opérant, dirige son jet pour une intervention de surveillance. Rentré à sol, le chasseur compose un argumentaire de sa charge à sa hiérarchie. Chaque jour le pilote de chasse se concentre à la préparation militaire. Sa mission exige une intense faculté d’ajustement aux innovants aéroplanes qu’il faudra maîtriser. Les pilotes d’avion de chasse sont aguerris par leur corps d'appartenance, leur enseignement intégrant les singularités attachée à leur interdépendance à une armée et celles jointes à leurs avions de chasse et tâches. Une portion de cet enseignement se déroule sur simulateur d’avion. Les pilotes d’avion de chasse doivent réaliser un coefficient minime d'heures de vol annuelles pour garder leurs autorisations. Certains qui ne peuvent pas devenir pilotes de chasse pourront se payer une activité inoubliable en faisant un baptême en avion de chasse. Percevez les émotions d’un pilote. Ressentez les sensations au cours du baptême de l’air en avion de chasse.


Cuisine au grand coeur

Quand la cuisine fait du bien, cela donne un élan de charité permettant de lever des fonds pour la Croix Rouge. En effet, 9 maîtres cuisiniers proposent un dîner de prestige au profit de la Croix-Rouge qui aura lieu le 13 décembre. La cuisine est un métier de partage et de générosité. Il n'y a rien de plus naturel que d'y ajouter la solidarité. L'idée de départ était de montrer qu'il était possible de concilier bonne bouffe, diététique et de rester dans des coûts moindres. Ce que les chefs ont fait au travers de la conférence et des trois ateliers cuisine qui ont réuni une quarantaine de personnes. Et ce diner de chefs sera réalisé dans la plus petite ville de France. Le dîner de chefs, qui est venu compléter le projet, est un peu… la cerise sur le gâteau. Cette ultime étape est menée avec vingt-six partenaires (des banques, des assurances, des entreprises locales, la municipalité et les maîtres cuisiniers de France). Cette initiative menée tous les ans dans une dizaine de villes en France a permis de récolter 650.000 € pour la Croix-Rouge. C'est une chance extraordinaire pour nous d'en bénéficier. Elle permettra de récolter des fonds pour l'aide alimentaire que nous offrons à près de 120 familles tout au long de l'année. A Issoudun – plus petite ville de France à accueillir le dîner de chefs –, neuf maîtres cuisiniers de la région vont ainsi associer leurs talents pour préparer un repas gastronomique. Un maximum de 200 convives est attendu. Un nombre qui devrait être facilement atteint : à dix jours du dîner, quelque 180 places ont déjà été vendues ! Pouvoir donner libre cours à sa gourmandise au nom de la générosité n'est pas chose fréquente. Alors autant en profiter… Pour en savoir plus : Cours de cuisine.


Florange et le quator des imbéciles

Florange, Mittal, Montebourg, Ayrault, un superbe quatuor qui commence à rimer avec incompétence. Les communistes Montebourg et Ayrault se battent sur l’avenir d’un site déjà perdu. La métallurgie est une industrie du passée, mais peu importe car l’idéologie et la stupidité ont raison du pragmatisme. On rase la tête de Mittal qui prend des risques économiques et qui emploi 20,000 personnes en France. Combien d’entreprises ont crée Montebourg et Ayrault ? Aucune. Ces donneurs de leçons qui excitent les investisseurs étrangers feraient bien de retourner à leur petit boulot tranquille d’élu afin au moins de mériter les salaires que les français leurs versent… Des métallos de Florange, vont occuper les hauts fourneaux du site sidérurgique lorrain, annonce le syndicaliste CFDT Edouard Martin devant la presse. « A partir d'ajourd'hui, on prend possession de l'usine, on va dans les hauts fourneaux », a déclaré le dirigeant syndical, visiblement ému, entouré d'une quinzaine de militants. « Il n'y en a pas un qui touchera aux vannes de gaz », qui permettent de maintenir les installations en veille, ajoute-t-il. « On est tous écœurés, on a été trahis », insisite-t-il. « On a deux ennemis : on va se battre contre Mittal et contre le gouvernement, poursuit le syndicaliste, qui appelle le président François Hollande à reprendre « le dossier en main ». Et ce n’est pas fini puis qu’en début d’après midi le député PS de Moselle, Michel Liebgott, venu avec des élus de Lorraine rencontrer à Matignon le Premier ministre sur l'accord passé avec Mittal sur Gandrange, lui a fait part jeudi de son sentiment de se « faire entuber » par le groupe sidérurgiste. Jean-Marc Ayrault avait invité à déjeuner des élus de Lorraine, après avoir reçu mercredi soir l'intersyndicale de Florange. Participaient à ce repas également les ministres Arnaud Montebourg (Redressement productif) et Geneviève Fioraso (Enseignement supérieur). « C'était assez tendu parce que la matinée a été terrible pour nous, puisque on a eu l'impression d'être pris pour des imbéciles par ArcelorMittal. On a eu l'impression, comme disait Edouard Martin (le syndicaliste CFDT, ndlr), moi en tout cas, non pas d'être enfumés mais d'être entubés pour ne pas être plus vulgaire. Et donc on l'a dit au Premier ministre, qu'on ne l'acceptait pas », déclare-t-il à la presse à la sortie de cette rencontre. Imbéciles, entubés… c’est comme les français qui paient pour tout ce gachis. Retrouver le feuilleton sur Les Echos.