lundi 23 juillet 2012

Une histoire de dauphins

Nager avec les dauphins est une expérience unique pour de nombreux passionés. Il y a de part le monde de nombreux sanctuaires où les dauphins sont habitués à l'homme. Si certains sont habitués à nager avec les dauphins qui s'amusent avec l'avant des bateaux, il serait surprenant de vouloir partir à leur rencontre sans être renseigné. De nombreuses sociétés gérées par des pro permettent d'aller à la découverte de ces dauphins dans des conditions de sécurité irréprochables. Si vous n’avez pas encore tenté cette expérience ou que vous vouliez offrir une journée extraordinaire à un proche, la Nage avec les dauphins est certainement un des plus beaux cadeaux possible. Divers sites présentent la nage avec les dauphins avec de photos et d’expériences, et de vidéos. Pour nager avec les dauphins il faudra aller vers Cannes. A 2h de bateau se trouve le sanctuaire Pelagos. Cet espace se situe entre le nord de la Sardaigne, le Sud de la Toscane et délimité par la presqu’île de Giens sur l’ Est. Le sanctuaire entoure complètement la Corse. Cette zone est celle qui comporte le plus de mammifères marins comme les baleines, les globicéphales et les dauphins. On y compte 8500 espèces marines différentes. On parle de réserve car les trois pays concernés qui sont la France, Monaco et l’Italie veulent mettre en place des actions de conservation des espèces et de leur environnement. Les dauphins restent des mamiphères qui évoluent dans un milieu qui n’est pas fait pour l’homme. Nager avec les dauphins reste malgré tout une expérience inoubliable.


Shark riders

Pendant que certains se font malheureusement croquer, d'autres jouent avec les requins. C'est une partie de l'équipe GoPro, pour de superbes images.

France Soir et le réalisme économique

C'est fait, c'est terminé pour France Soir. Le réalisme économique a enfin eu raison du rêve, même fut il russe, et des syndicats, pourfendeurs d'un idéalisme d'un ancien temps qui a enfin vu les effets bien concrêts de leurs actes: la liquidation. Il restait encore une offre qui aurait permise de sauvegarder quelques emplois, mais non... France Soir meurt dans l'indifférence se plaignent les syndicalistes - ben oui - parce que France Soir n'avait rien à offrir, et c'est pourquoi le titre est mort. Pourquoi perfusionner le patient qui n'a quelques jours de sursis en sachant que cela coutera de l'argent public. Non, la décence a enfin triomphée. Voici ce qu'on pouvait en lire dans la presse numérique: France Soir mis en liquidation... Le tribunal de commerce de Paris a prononcé ce lundi après-midi la liquidation du titre, apprend-on de source syndicale. "Cette fois, c'est la fin pour le quotidien lancé en 1944 par Pierre Lazareff", estime Le Monde. Le quotidien historique avait cessé son édition papier en décembre dernier. Le titre n'existait plus depuis qu'en version numérique depuis, et avait été placée en redressement judiciaire par son propriétaire, Alexandre Pougatchev. Une seule offre était en lice pour la reprise du titre, celle du groupe de presse "low-cost" Lafont, moyennant 56 000 euros et le maintien de seulementy six emplois sur 49. Cette proposition avait été jugée "scandaleuse" et rejetée à l'unanimité la semaine dernière par les salariés et les élus de France Soir. Cette fin est lamentable, France Soir meurt dans l'indifférence. Cette liquidation doit déboucher sur une vente "à la découpe" des derniers actifs de France Soir: le titre, le nom de domaine et le fonds d'archives, a expliqué le secrétaire du comité d'entreprise, Stéphane Paturey. "Cette fin est lamentable, la liquidation a été prononcée en dix secondes, sans aucune explication, France Soir meurt dans l'indifférence", a-t-il commenté. "C'est un désastre pour le pluralisme de la presse, un désastre pour l'emploi", a-t-il ajouté. Dans un communiqué, les syndicats et les élus de France Soir ont dénoncé un "gâchis". "En sept mois, Alexandre Pourgatchev a tué un titre et licencié pas moins de 150 salariés", écrivent-ils. "Le silence du gouvernement sur ce dossier est intolérable", dénoncent-ils. Source de l'Express.