vendredi 28 septembre 2012
Voler en simulateur
Il est tout à fait faisable de piloter un Boeing 737 en simulateur de vol professionnel. Cette pratique incroyable est vécue dans une école de formation des pilotes à Lyon. Ces pilotes iront par après œuvrer pour les compagnies. Les simu de vol professionnels sont des merveilles de technicité, déplacés par des vérins électriques, qui recréent fidèlement les impulsions d’un airbus ou boeing. Cette pratique est vraiment affectionnée par les fans d’aviation, mais également par ceux qui souhaitent saisir le rôle de pilote d’avion. Les intervenants sont accueillis par un pilote pro sur le centre de qualification. Une présentation de trente minutes est dispensé puis débute la séance de simu professionnel. L’individu peut choisir son endroit de départ et son endroit d’arrivée. Il pourra encore simuler la majorité des intempéries atmosphériques comme les avaries qui peuvent advenir en vol. Les enthousiastes d’aviation aiment. Mais aussi ceux qui ont peur en avion. De nombreuses personnes ont peur en vol faute d’une désagréable expérience de vol. Des personnes ont subi des conditions climatiques catastrophiques, comme des conditions d’avantage pénibles comme être heurté par des éclairs en avion, ou aussi une perte moteur. Toute situation en avion difficile favorise une crainte du prochain envol. Afin de se mesurer contre cette phobie et cette peur de l’avion. Les simu professionnels sont employés par les professionnels pour dispenser des stages antistress pour se mesurer contre la phobie de l’ avion. Ces stages sont faites sur mesure et réalisés à l’individu pour une plus grande efficacité. Le cours de trois h consent au prétendant de comprendre l’aérodynamique d’un avion et de se placer en condition, face aux commandes d’un avion. Aidé d’un médecin, l’individu affronte ses frayeurs afin de mieux les réaliser et les dominer. Les simulateur de vol utilisables sont des simu Airbus et B737. La façon de piloter l’Airbus et le B737 sont discordantes. La technologie de pilotage 320 est basée sur le joystick – vous donnez une impulsion sur le manche et l’aéronef va retenir l’angle qui vient de lui être ordonné, sans continuer l’angle d’attaque sur le manche. Ceci s’avère très bizarre pour un jeune pilote. A l’inverse, Boeing conserve une sensation de vol normal. Le manche est traditionnel, et il faut permuter l’angle sur le manche à balai pour maintenir l’angle ou l’angle de l’aéroplane. Pour avoir de l’altitude, vous tirez sur le manche à balai, et il convient de maintenir cette attitude pour continuer à grimper. A l’opposé sur le simu Airbus, vous impulsez un angle d’ascension, et vous pouvez oublier le joystick. L’aéroplane conserve sa grimpée. Pour replacer l’assiette, il faut alors pousser sur le joystick pour ravoir l’aplomb originelle. Il n’y a pas de choix accompli pour votre simu A320, cela dépend des expectatives des personnes. De toutes façons, l’activité en simulateur de vol professionnel est étonnante.
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